L’homéopathie, une branche de la magie blanche ?
Le théologien catholique François Mathijsen, dans son livre « Les expériences paranormales », donne cette définition de la magie :
« La magie se présente comme une faculté de manipuler des aspects de la réalité soit par des moyens surnaturels, soit par la connaissance de lois occultes inconnues de la science. Les deux grandes catégories sont la magie blanche (qui a pour but d’aider) et la magie noire ou sorcellerie (qui a pour but de nuire ou de manipuler quelqu’un comme le Vaudou). »
Toutes ces médecines « douces », « alternatives » ou ce qu’on appelle encore la médecine « traditionnelle » en Afrique ou en Asie, fondées sur des croyances comme les chakras, les méridiens ou le Qi (autrement appelé Energie Vitale), impliquent essentiellement les interventions du monde spirituel, donc de démons. Ces derniers sont en réalité ces « moyens surnaturels » dont parle l’auteur de cette définition. D’autre part, le principe de la potentialisation sans laquelle tout le système est rendu inefficace est un exemple typique de « connaissance de lois occultes inconnues de la science ». Ces lois qu’Hahnemann précise « méconnues jusqu’ici », il estime s’en faire le maître, le « [confinant] presque à la divinité », ajoute-t-il dans sa préface d’Organon (1810).
Certains grands homéopathes ont d’ailleurs avoué que l’énergie qu’ils prétendent manipuler pour guérir les gens ne se distingue pas de celle de l’énergie occulte en général, qui a eu une grande variété de noms à travers l’histoire (cf. Ankerberg & Weldon).
Pire encore, un éminent médecin homéopathe, George Vithoulkas, (prix Nobel alternatif, 1996) révèle ouvertement dans son livre « Homéopathie » que l’objectif réel de cette médecine est « d’aider à ouvrir les centres supérieurs aux afflux spirituels et célestes » et que l’« expérience prouvera que l’homéopathie est un talisman à partir duquel toutes les maladies disparaissent ».11
Cela signifie que le but est l’ouverture de notre être psychique et notre esprit aux influences spirituelles démoniaques, en plus d’être des objets magiques. On ne peut pas trouver plus occulte et dangereux que ça.
Pour rappel, il suffit d’ouvrir n’importe quel dictionnaire pour lire qu’un talisman est un objet occulte, lié à des pratiques religieuses ou astrologiques, préparé rituellement et qui connecte le possesseur (ou l’utilisateur) au monde spirituel pour lui conférer une action magique (guérison) ou protectrice. Nous avons là la définition complète, point par point, de l’homéopathie.
Devant ce constat, il est primordial en tant que chrétiens de faire les choix qui s’imposent : se repentir devant Dieu et se défaire des liens spirituels occultes occasionnés par ces pratiques.
Il ne faut pas minimiser l’importance du spirituel et son influence sur notre monde. Dans l’épitre aux Hébreux 11,3, nous lisons que « c’est par la foi que nous reconnaissons que l’univers a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles ». En d’autres termes, le visible vient de l’invisible, du spirituel.
Les événements de ce monde, comme ce qui peut impacter nos vies, bénédictions ou malédictions, a bien souvent une origine spirituelle. Et c’est tout à fait normal, puisque « Dieu est Esprit » (Jean 4,24).
Nous ne devons pas occulter cette vérité, car toute notre foi est fondée sur cette vision du monde. Il n’y a pas d’alternatives, la foi en Jésus-Christ est le seul et unique canal qui peut et doit faire intervenir le spirituel, donc l’action de Dieu par le Saint-Esprit, dans nos vies. Jésus est le seul chemin légitime. Toute intervention ou usage d’une force ou d’une méthode spirituelle qui ne passerait pas par Jésus-Christ, rentre inexorablement dans le cadre de la définition de François Mathijsen : c’est purement et simplement de la magie.
Le théologien catholique François Mathijsen, dans son livre «Les expériences paranormales », donne cette définition de la magie : « La magie se présente comme une faculté de manipuler des aspects de la réalité soit par des moyens surnaturels, soit par la connaissance de lois occultes inconnues de la science. Les deux grandes catégories sont la magie blanche (qui a pour but d’aider) et la magie noire ou sorcellerie (qui a pour but de nuire ou de manipuler quelqu’un comme le Vaudou) »
Toutes ces médecines « douces », « alternatives » ou ce qu’on appelle encore la médecine « traditionnelle » en Afrique ou en Asie, fondées sur des croyances comme les chakras, les méridiens ou le Qi (autrement appelé Energie Vitale), impliquent essentiellement les interventions du monde spirituel, donc de démons. Ce sont ces « moyens surnaturels » dont parle l’auteur de cette définition. D’autre part, le principe de la potentialisation sans laquelle tout le système est rendu inefficace est un exemple typique de « connaissance de lois occultes inconnues de la science ».
Devant ce constat, il est primordial en tant que chrétiens de faire les choix qui s’imposent : se repentir devant Dieu et se défaire des liens spirituel, occultes occasionnés par ces pratiques.
Il ne faut pas minimiser l’importance du spirituel et son influence sur notre monde. Dans l’épitre aux Hébreux 11,3, nous lisons que « c’est par la foi que nous reconnaissons que l’univers a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles ». En d’autres termes, le visible vient de l’invisible, du spirituel.
Les événements de ce monde, comme ce qui peut impacter nos vies, bénédictions ou malédictions, a bien souvent une origine spirituelle. Et c’est tout à fait normal, puisque « Dieu est esprit » (Jean 4,24).
Nous ne devons pas occulter cette vérité, car toute notre foi est fondée sur cette vision du monde. Il n’y a pas d’alternatives, la foi en Jésus-Christ est le seul et unique canal qui peut et doit faire intervenir le spirituel, donc l’action de Dieu, dans nos vies. Jésus est le seul chemin légitime, grâce au Saint-Esprit. Toute intervention ou usage d’une force ou d’une méthode spirituelle qui ne passerait pas par Jésus-Christ, rentre inexorablement dans le cadre de la définition de François Mathijsen : c’est purement et simplement de la magie.
Conclusion
L’homéopathie est clairement associée à des principes occultes, de divination, et il ne faut pas en sous-estimer l’influence. Ces pratiques sont interdites par l’Eternel, comme nous l’avons vu dans le verset de Lévitique 19,31. De telles pratiques sont sources de malédictions qui peuvent se manifester par d’autres problèmes de santé physiques (maladies chroniques ou récurrentes, insomnies) ou psychiques (dépression), relationnels, matériels (spoliation, pauvreté) et j’en passe.
Nous n’avons pas à communiquer ni à jouer avec le monde spirituel. Nous avons été créés corps-âme-esprit, et notre esprit a été créé par Dieu dans le but d’être en communion avec Lui, notre Père et Créateur qui est Lui-même Esprit. Aucun autre fluide, ni aucune autre force ne devrait nous conduire ou nous influencer. Et notre esprit ne devrait être en communion qu’avec Dieu et rien ni personne d’autre. C’est uniquement grâce à l’œuvre de Jésus-Christ à la Croix que nous avons accès au Père dans les Cieux.
Les plantes nous ont été données par Dieu et grâce à cela, nous pouvons être soignés, voire guéris de beaucoup de choses (et sûrement plus encore à découvrir), ce qu’on appelle la phytothérapie, tout comme le génie génétique issu de l’intelligence de l’homme (gloire à Dieu !) et qui permet de dupliquer et recréer des molécules (domaine du naturel et non du spirituel, cette différence est essentielle) pour nous soigner.
Et au-dessus de tout cela, il y a le Nom de Jésus-Christ, par les meurtrissures duquel nous sommes guéris (1 Pierre 2,24). La prière de foi pour la guérison devrait toujours être prioritaire sur toute autre méthode, car n’oublions pas que Jésus-Christ l’a déjà obtenue pour nous par son sacrifice à la croix. Proclamons sa guérison sur nos vies, par la puissance de son sang qui a coulé pour nous, une fois pour toutes et éternellement efficace.
Que dois-je faire maintenant ?
Maintenant, dans le cas où vous auriez utilisé de tels traitements (homéopathie ou pratiqué une autre médecine « douce » orientale), même sans avoir eu une connaissance préalable de ces sources occultes, il est toujours temps d’agir et sans plus tarder. Jean nous dit dans sa première épitre, chapitre 1,9 que « si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité ».
La première chose à faire est donc de se repentir, simplement demander pardon à Dieu d’avoir participé à quelque chose qu’il interdit clairement dans Sa Parole. Une chose est sûre, nous venons de le lire, il nous pardonne et nous purifie.
Puis par l’autorité et la puissance du Nom de Jésus-Christ, brisez sur vos vies les liens spirituels que ces pratiques ont créés et chassez tout esprit ayant profité de ces droits. Enfin, « croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir » (Marc 11,24b). Amen !
Et avant de terminer, laissez-moi vous raconter une courte histoire pour imager cela. Un homme vivait dans sa maison, mais avait laissé des fenêtres ouvertes, ce qui a fait inévitablement entrer beaucoup de poussière, certes fine et quasiment invisible au premier abord, mais qui avec le temps s’est accumulée et a commencé à salir les meubles, laissant des traces, formant des amas et pouvant aller jusqu’à coincer des portes. S’en apercevant et désirant régler cela, le propriétaire a pris la décision de fermer les fenêtres. Mais la poussière était déjà dans la maison. Il a alors pris un balai et a fait le ménage, a nettoyé les meubles sales et a libéré des portes coincées. C’était en effet une bonne chose de fermer les fenêtres ouvertes, mais c’était aussi essentiel de nettoyer ensuite l’intérieur de la maison pour se débarrasser de tout ce qui était entré par cette négligence, et dans cet ordre, sinon ça n’a pas de sens.
En d’autres termes, nous n’avons pas à craindre les liens spirituels liés à cette pratique, mais il est important après s’en être repenti, de les briser et de chasser au nom de Jésus-Christ tout esprit impur associé, afin de ne pas subir leur influence néfaste sur nos vies. Ne laissons pas l’ennemi de nos âmes entraver notre marche avec Dieu. Comme il y a des lois physiques, il y a aussi des lois spirituelles, comme les lois de bénédictions et de malédictions, et si nous avons ouvert une mauvaise porte spirituelle à un moment, si nous avons donné un droit d’accès au diable, il nous faut couper cela sans plus tarder. Si ces influences ne peuvent pas nous contrôler quand l’Esprit de Dieu habite en nous, elles ne vont pas nous faciliter la vie, et il vaut bien mieux s’en défaire et vivre la vraie liberté en Jésus que d’avancer un boulet au pied. Je vous exhorte à y réfléchir fortement et honnêtement devant le Seigneur. Cela ne coûte rien, tout a déjà été payé par notre Sauveur et Seigneur à la croix.
« Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins. » (Hébreux 4, 16)
11 Vithoulkas, George.. Homeopathy, Medecine for the New Millenium. IACH, Athène 2000.